Forest of Bliss est une éblouissante représentation de la vie et de la mort au Benares, en Inde.
Le réalisateur allemand Wim Wenders a réalisé ce documentaire dans lequel il tente d'explorer le Tokyo représenté dans les films de Yasujiro Ozu. Lorsque Wenders visite Tokyo pour la première fois, il découvre une ville très différente, une ville fascinée par la technologie qui se heurte souvent aux éléments traditionnels de la culture japonaise. Wenders interviewe également le directeur de la photographie d'Ozu, Yuharu Atsuta, et Chishu Ryu, un acteur qui a fréquemment collaboré avec Ozu.
Un portrait documentaire de James Baldwin, une des figures de la littérature américaine du 20ème siècle, de la culture noire et de la pensée politique, tourné à Paris. L’auteur culte est filmé dans plusieurs lieux symboliques de la ville, où il vivait à l’époque, dont la Place de la Bastille.
En Cisjordanie, Palestine, de jeunes artistes privés de leurs droits évoquent les choix qu’ils ont faits en exprimant leur créativité pour répondre à leur environnement. Au milieu de la persécution et de la marginalisation qu’ils subissent, ces artistes célèbrent la vie, l’amour et l’espoir.
«Valparaiso est une ville extraordinaire, une ville qui a tout connu: les Espagnols, l'incendie, le tremblement de terre, les pirates, la tempête, tout. Une ville torturée...»
Le 8 décembre 1983, un garçon juif de quinze ans de la ville de Haïfa a été kidnappé, assassiné et abusé sexuellement après sa mort. Cinq Arabes qui travaillaient dans le supermarché du quartier ont été condamnés à 27 ans de prison et à perpétuité. La condamnation était fondée uniquement sur les aveux et les reconstitutions des accusés. Dix-sept ans après leur condamnation, les cinq accusés clament toujours qu'ils sont innocents.
Les soirées Shakedown étaient organisées par et pour les femmes noires de Los Angeles où danses érotiques et stripteases étaient présentés pour la scène lesbienne de la ville. La clientèle glissait des billets dans les culottes des danseuses tout en célébrant sa sexualité au rythme du hip-hop.
Paris, été 1960. L'anthropologue et cinéaste Jean Rouch et le sociologue et critique de cinéma Edgar Morin déambulent dans les rues bondées en demandant aux passants comment ils font face aux malheurs de la vie.
Les Américains ont inventé le jazz pour se consoler de la mort, la star pour se consoler de la femme. Pour se consoler de la nuit, ils ont inventé Broadway. Cet essai de très court métrage se propose d’exprimer le rythme de la ville symbolisée par les enseignes lumineuses de Broadway.
Les mille yeux du Docteur Tscherkassky se sont arrêtés sur une image des débuts du cinéma: un photogramme de LA SORTIE DES OUVRIERS DE L’USINE LUMIÈRE à Lyon se transforme en images surprenantes, dégagées de leur signifié.
Antonia est une chanteuse lyrique à la beauté sombre et exubérante. Après une tentative de suicide, et la rupture de tous ses liens familiaux, elle tente de se réadapter. Sa sœur reste profondément affectée par cet événement.
Filmé vers 1965, ce faux documentaire ahurissant du sultan de l’obscène Joseph P. Mawra ne recule devant rien pour exposer la « détresse » lesbienne. Bien entendu, il ne s’agit là que d’un grindhouse destiné aux pervers — mais aussi d’un document incroyable sur le Greenwich Village de l’époque.
Dans les entrailles souterraines du British Museum repose un vaste trésor d’objets africains d’une grande valeur, rares et anciens. Le temps d’une journée, ils sont sortis pour la première fois de leurs coffres, révélant l’ampleur de ce qui fut volé par les troupes coloniales.