Bombay, Mexico City, Moscou, New York : des monstres séduisants et abjects. La contradiction s’esquisse elle-même jusque dans la vie de ceux qui peuplent ces megacities. Les douze chapitres du film recontent les histoires de : Shankar, l’homme bioscope; Modesto, le vendeur de pieds de poules; Baba Khan, le recycleur de couleur; Nestor, le chiffonnier des déponies; Oleg, Borya, Kolya et Misha, les enfants de la rue; Cassandra, l’artiste; Larissa, la conductrice de grue; Toni, le prostitué. Tous les jours ils mènent leur combat pour la survie avec ingénuité, intelligence et dignité. Et ils partagent tous une seule fantaisie : le rêve d’une vie meilleure. Megacities est un film sur le travail, la pauvreté, la violence, l’amour et le sexe. Un film sur la beauté des gens.
Aux Philippines, un homme innocent risque la peine de mort dans une affaire de meurtre controversée qui a séparé deux familles et une nation entière.
De l'Ukraine à l'Indonésie, du Nigeria au Pakistan et à la Chine, rencontre avec des travailleurs de force qui gagnent à peine de quoi survivre. En cinq lieux à travers le monde, cinq situations exemplaires, ce film montre avec un sens époustouflant de la mise en scène les conditions de vie et de travail effarantes qui sont le lot des laissés-pour-compte du libéralisme économique.
En 1995, alors qu'il préparait son film , James Cameron effectua une plongée sur l'épave du plus luxueux paquebot du monde, engloutie par plus de 4 000 mètres de profondeur. La vision de cet immense vaisseau le bouleversa. Le naufrage n'était plus pour lui un mythe, mais une réalité tangible, effrayante, fascinante. Pendant quelques précieuses minutes, à bord d'un batiscaphe expérimental, il put longer les ponts et la coque du géant des mers qui sombra lors de son voyage inaugural dans la nuit du 14 avril 1912, au sud de Terre-Neuve. Plus de 1 500 personnes disparurent dans la catastrophe. En remontant à la surface, James Cameron n'était plus tout à fait le même.
Ce documentaire brut et révélateur offre un aperçu intime de la vie de Nathan, un jeune homme aux prises avec une schizophrénie paranoïde. Tourné sur une période de sept ans, Nathan documente ses luttes et ses victoires, ainsi que la tapisserie colorée des relations qui définissent son monde – de son meilleur ami bipolaire à ses membres de famille bienveillants, chacun affectueusement surnommé un Loulou.